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Qu'est ce qui fait qu'un individu va être parfois capable de se retenir de manger, parfois pas du tout... parfois durant de longues ou courtes périodes, et puis plus du tout... Les mécanismes de la dépendance, en ce qui concerne la nourriture , sont parait-il les mêmes que ceux qui concernent les drogues DURES ( exit le tabac 
c'est du pipi de chat . dans un article publié ds psychologie magazine ( référence précise heu non désolée c'est mon point faible!!) un médecin comparait la force addictive de la nourriture à celle de l'héroine. Non pas tant dans l'effet physique ou physiologique des substances mais bien dans les mécanismes de la dépendance. Personnellement je n'ai jamais essayé depuis l'hyperphagie de me RETENIR - du genre je demande à être internée, ou enfermée, ou partir dans un monastère pendant 10 jours sans possibilité de me procurer d'autre nourriture- mais j'ai lu 2 témoignages de femmes ayant fait cette expérience. Hem un peu violent: la première était une boulimique qui est partie méditer pendant 1 mois je crois - + ou moins - qq part en Inde... elle a trouvé un apaisement ds la méditation après en avoir bavé ( comme un sevrage brutal) pendant quelques jours... le second, une femme "addicte" au sucre, idem, monastère, méditations... mais rien dans ces témoignages ne prouvaient une quelconque guérison sur le long terme. Qu'est ce que vous en pensez vous? Moi ça me tente des fois, pour voir ce qui voudrait sortir si la bouffe n'était plus là pour juguler, pour retenir, pour bloquer... pour protéger... mais en même temps je trouve ce type de procédé plutot violent (risque de décompensation, et oui en mangeant souvent on COMPENSE) et sans garantie de guérison ou d'aller mieux...
Si quelqu'un a déjà "testé"...
Il y a dautres choses à dire sur le sujet bien sûr mais bon, déjà on commence tout doux là!
Marie
c'est du pipi de chat . dans un article publié ds psychologie magazine ( référence précise heu non désolée c'est mon point faible!!) un médecin comparait la force addictive de la nourriture à celle de l'héroine. Non pas tant dans l'effet physique ou physiologique des substances mais bien dans les mécanismes de la dépendance. Personnellement je n'ai jamais essayé depuis l'hyperphagie de me RETENIR - du genre je demande à être internée, ou enfermée, ou partir dans un monastère pendant 10 jours sans possibilité de me procurer d'autre nourriture- mais j'ai lu 2 témoignages de femmes ayant fait cette expérience. Hem un peu violent: la première était une boulimique qui est partie méditer pendant 1 mois je crois - + ou moins - qq part en Inde... elle a trouvé un apaisement ds la méditation après en avoir bavé ( comme un sevrage brutal) pendant quelques jours... le second, une femme "addicte" au sucre, idem, monastère, méditations... mais rien dans ces témoignages ne prouvaient une quelconque guérison sur le long terme. Qu'est ce que vous en pensez vous? Moi ça me tente des fois, pour voir ce qui voudrait sortir si la bouffe n'était plus là pour juguler, pour retenir, pour bloquer... pour protéger... mais en même temps je trouve ce type de procédé plutot violent (risque de décompensation, et oui en mangeant souvent on COMPENSE) et sans garantie de guérison ou d'aller mieux...Si quelqu'un a déjà "testé"...
Il y a dautres choses à dire sur le sujet bien sûr mais bon, déjà on commence tout doux là!
Marie
